J’essaie. Je vous jure que j’essaie. Mais parfois, c’est l’univers qui se ligue contre moi. Ou qui m’envoie un message, c’est à voir.
Dimanche, 10h45, -30°C (-1 000°C avec le facteur vent), je suis devant les portes de l’école de Zumba. Les dites portes sont verrouillées, y’a pas un chat en vue. Sauf au bout de la rue, Geneviève et Valérie qui s’en viennent, aussi frigorifiées que moi.
On a attendu 15 minutes en tapant des pieds pour se réchauffer. Mais y’a fallu se rendre à l’évidence – par je ne sais quelle mauvaise communication, il n’y avait pas de cours ce matin-là. Et on était visiblement les seules à ne pas l’avoir compris.
C’est comme ça qu’on s’est retrouvées toutes les trois au Nektar, pour se réchauffer, mais surtout pour rigoler. C’est qu’aucune de nous trois n’est vraiment équipé côté vêtements de Zumba. Et aussi, disons que je ne fais pas forcément ma mise en plis avant d’aller m’entraîner. Le look après-ski au centre-ville, c’est plutôt contrastant. Et c’est dans ces moment-là qu’on rencontre des gens qu’on connaît!
Oh well… Est-ce que j’ai déjà dit quelque part que je me prenais au sérieux? Je me suis amusée bien assez pour compenser cette entorse de style! Et je me demande si l’univers n’est pas en train de me dire qu’il y a plus de plaisir à avoir dans une tasse de café que dans un cours de Zumba!
PS.: Vous connaissez les grands crus du Nektar? Je n’y croyais pas. Mais là, je suis conquise! Pour quelques sous de plus, ça vaut la peine de se gâter!